Paris/Modeling
From 2007.igem.org
MODELISATION DE L’ORGANISME SYNTHETIQUE Que veut on faire ? Le but est de modéliser la croissance cellulaire et de prouver qu’elle est possible, de trouver la gamme de paramètres qui la permettent, puis d’optimiser la production de triglycéride. Est il possible pour une cellule productrice d’acide aminé de nourrir à la fois la cellule mère, et la cellule productrice de triglycéride ? Pour cela il faut trouver le bon équilibre théorique entre les différents élements de la population. Cet équilibre est déterminé par le taux de déclenchement du système cré-lox qu’on détermine génétiquement.
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Pourquoi la modélisation ?
Minimiser les étapes biologiques
Faire marcher le système en trouvant les paramètres admissibles, et économiser du temps lors des réalisations biologiques, pour directement faire la construction la plus susceptible de marcher. (Par exemple trouver tout de suite les bons promoteurs à utiliser) Certain se disent que le système qu’on construit est suffisamment « simple » pour qu’il marche en le construisant avec les mains. C’est possible que ca marche. Mais si on ne cherche pas à modéliser pour un système simple, comment espérer modéliser un système plus complexe ?
Esprit biosynthétique et IGEM
Si vous écoutez Endy parler, la caractéristique de la biosynthétique n’est pas de faire une construction biologique. L’important, c’est la manière, le processus qui permet de l’obtenir. C’est de donner la possibilité de pouvoir créer le système d’abord de manière virtuelle avant de le réaliser : en assemblant les biobriques de la manière la plus judicieuse possible, en connaissant exactement le lien entre input output. Ceci doit se refleter dans la construction :
Rythmer et organiser les constructions biologiques
Il faut essayer de caractériser les biobriques qu’on va utiliser, avant de les assembler, de manière à alimenter la modélisation en valeurs de paramètres, puis d’utiliser la modélisation pour construire, et voir ce qui correspond ou non à la modélisation, et essayer de comprendre pourquoi. (On a en ainsi une démarche de chercher comment les choses marchent en les construisant, puis en observant l’écart avec la théorie, et en cherchant une explication pour affiner le modèle)
QUE MODELISER ?
Modélisation macroscopique
J’entends par macroscopique, la modélisation qui se place au niveau de la culture cellulaire, avec des paramètres qu’on peut mesurer extérieurement. Démarche : il faut récuperer les paramètres d’entrée et de sortie de chacun des élements du système, les introduire dans la modélisation, récuperer le taux de transformation cre-lox désiré, et modifier le promoteur de cre en utilisant les promoteurs biobricks, qui ont été caractérisé.
- Paramètres à chercher dans la littérature puis à mesurer in vitro nous même :
- Absorbtion de l’acide aminé vital par une cellule.
- Production de l’acide aminé vital par une cellule
- Zone de diffusion de l’acide aminé dans le milieu
- Taille léthal d’une cellule sans FTSZ ( pour une cellule productrice d’AA) (comment le mesurer ? en Cycles cellulaires ?( 4 ou 5 d’après Ariel) mais vitesse de cycle identique que pour une cellule normale(avec FTSZ)?
- Taille léthal d’une cellule sans FTSZ ( pour une cellule productrice de triglycéride) (mêmes questions)
Taux de recombinaison crelox (avec le promoteur de référence (lien) ou un qu’on aura caractérisé)
Pour chacune de ces points, créer une page et la documenter
MODELISATION MICROSCOPIQUE OU GENETIQUE
C’est la modélisation de ce qui se passe DANS la cellule, modélisation du réseau génétique, avec comme paramètres la quantité des différentes protéines ayant un rôle dans notre système.
Comment mesurerl’efficacité des modules ? Grâce aux Pops et aux Rips. Il faut en effet des unité de mesure de référence. De plus il faut des modules de référence. Pour les promoteurs, il faut toujours comparer le promoteur utilisé à celui-ci